17 janvier 2010
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La machine à café est l'endroit incontournable de tous les boulots de France (on l'a
"vu à la télé" !) et la pause-café, une institution. Les coulisses du Musée du Louvre sont bien équipées pour les nombreux personnels : machines à café et boissons chaudes, distributeurs de
canettes et bouteilles d'eau, ainsi que de bonbons, biscuits, gourmandises ou sandwichs.
En tout, c'est environ 300 machines qui sont reparties sur le site du Louvre, et il faut quotidiennement les recharger, nettoyer, réparer. La maintenance a fort à faire.
Pour le personnel de surveillance, la salle de repos principale est en sous-sol, à côté des vestiaires. Dès le matin, après l'entrée par le PAC de l'Oratoire et après avoir pointé, badgé, signé et resignalé notre présence, on se retouve autour de la machine à café. Ainsi toute la journée, au rythme des pauses et des différents services, le distributeur est notre point de rendez-vous.
Le café est-il meilleur à la machine de gauche ? Chacun a sa théorie là-dessus, ses habitudes. De toute façon, le café n'est pas bon (bien sûr), mais il nous est nécessaire. Le thé est à vomir, les amateurs préfèrent venir avec leur thermos. Le chocolat est acceptable, mais le potage qui, avant, était à la tomate, est devenu de plus en plus clair pour finir en soupe à l'eau chaude. Dommage !
Parfois, la machine tombe en panne ou ne rend plus la monnaie, aïe aïe aïe ! Il faut contacter la société et intercepter le technicien : "Elle m'a pris 2 euros ! J'ai pas eu de gobelet ! Il n'y a plus de touillette ! L'expresso est trop clair, le long est trop court !" Le pauvre homme est très sollicité, et qui n'a pas bavé d'envie devant son chariot plein de gourmandises...
On peut se réconforter pour pas cher. Depuis que je travaille ici, ça n'a pas bougé, le café est à 30 cents (autrefois 2 francs). C'est tant mieux pour nos petits moyens d'agents de catégorie C, et puis ça fait passer le goût "machine" du café.
Pour le public, par contre, pas de machine en self-service, mais de vrais cafés dans de vrais Cafés, deux dans le musée et plusieurs sous la pyramide. Prix moyen 2,50 E !
A ce prix là, c'est sûrement meilleur !
En tout, c'est environ 300 machines qui sont reparties sur le site du Louvre, et il faut quotidiennement les recharger, nettoyer, réparer. La maintenance a fort à faire.
Pour le personnel de surveillance, la salle de repos principale est en sous-sol, à côté des vestiaires. Dès le matin, après l'entrée par le PAC de l'Oratoire et après avoir pointé, badgé, signé et resignalé notre présence, on se retouve autour de la machine à café. Ainsi toute la journée, au rythme des pauses et des différents services, le distributeur est notre point de rendez-vous.
Le café est-il meilleur à la machine de gauche ? Chacun a sa théorie là-dessus, ses habitudes. De toute façon, le café n'est pas bon (bien sûr), mais il nous est nécessaire. Le thé est à vomir, les amateurs préfèrent venir avec leur thermos. Le chocolat est acceptable, mais le potage qui, avant, était à la tomate, est devenu de plus en plus clair pour finir en soupe à l'eau chaude. Dommage !
Parfois, la machine tombe en panne ou ne rend plus la monnaie, aïe aïe aïe ! Il faut contacter la société et intercepter le technicien : "Elle m'a pris 2 euros ! J'ai pas eu de gobelet ! Il n'y a plus de touillette ! L'expresso est trop clair, le long est trop court !" Le pauvre homme est très sollicité, et qui n'a pas bavé d'envie devant son chariot plein de gourmandises...
On peut se réconforter pour pas cher. Depuis que je travaille ici, ça n'a pas bougé, le café est à 30 cents (autrefois 2 francs). C'est tant mieux pour nos petits moyens d'agents de catégorie C, et puis ça fait passer le goût "machine" du café.
Pour le public, par contre, pas de machine en self-service, mais de vrais cafés dans de vrais Cafés, deux dans le musée et plusieurs sous la pyramide. Prix moyen 2,50 E !
A ce prix là, c'est sûrement meilleur !